dessiner un personnage sur le vif / carnet de voyage / initiation
25 et 26 mai 2024/ samedi de 14h00 à 18h30 et dimanche de 10h à 18h30 / en extérieur/ Tous niveaux/ Tarif plein 125€- Tarif réduit 110€
Ce stage s’adresse aux élèves intéressés par le le croquis de groupe et de personnes que l’on saisira “sur le motif” ou sur le vif, en les plaçant dans un espace donné. On travaillera à paris en extérieur (selon la météo) sur différents exercices avec des difficultés progressives. Les élèves pourront utiliser les acquis du stage dans un carnet de voyage, carnet de métro, ou encore dans une pratique de portrait
Programme pédagogique
Nous étudierons d’abord la morphologie, l’aplomb et les proportions basiques du corps. Nous nous exercerons d’après différentes positions du corps en variant les angles de vue. Chacun devra structurer une silhouette en action selon sa ligne de force, puis par la suite un groupe.
Les élèves apprendront ensuite à placer dans la profondeur différentes silhouettes et groupes pour former un espace. Nous reprendrons donc certaines bases de la perspective.
Nous aborderons également quelques notions de drapé : pantalons, manteaux , t-shirts et sacs, pour en saisir les dynamiques essentielles.
Enfin nous travaillerons aussi au placement des ombres pour asseoir les groupes et silhouettes dans un espace et les unir dans une lumière.
Il s’agira de simplifier les silhouettes dans la profondeur de l’espace. Et d’apprendre donc à ne pas tout dire de la même manière.
Tarif plein : 125€ / Tarif réduit 110€ (étudiants, artistes, intermittents, rsa)
Le programme avec les rdv exacts vous est envoyé au minimum 2 semaines avant le stage
- Carnet à dessin relié vertical ( ou format portrait) A4 ou plus sans spirale
- Gomme à dessin tendre ou gomme mie de pain
- Crayons 2b et/ou 3b
- Taille-crayon avec poubelle
- fusain
- feutre fin ou stylo roller, stylo bic
- Fixatif aérosol
- tabouret trépied pliant. (On en trouve dans les magasins de sports ou à Nature et Découverte)
“Ceux qui s’abandonnent à une pratique prompte et légère avant que d’avoir appris la théorie¹, ou l’art de finir leurs figures, ressemblent à des matelots qui se mettent en mer sur un vaisseau qui n’a ni gouvernail ni boussole : ils ne savent quelle route ils doivent tenir. La pratique doit toujours être fondée sur une bonne théorie, dont la perspective est le guide et la porte ; car sans elle on ne saurait réussir en aucune chose dans la peinture, ni dans les autres arts qui dépendent du dessin”